CONNOR LIAM BUCKLEY ❖ Déclinez votre identité.
Prénom, nom : Connor L. Buckley
Âge, date et lieu de naissance : 9 mars 1979 à Galway... 31 ans donc (entre adorateurs des maths, on s'aide au calcul mental ;D)
État civil : Célibataire, situation en évolution.
Emploi : Enseignant
Matière enseignée : Les arts plastiques
Groupe : Excuse me Mr
Avant de rejoindre l'équipe éducative, il faut passer un entretien avec Mr. O'Cahan, le principal. Bonjour! J'aimerais d'abord que vous m'expliquiez quelles sont vos motivations pour cet emploi.Bonjour...
Faut savoir qu'étant gamin, je ne foutais pas grand chose en cours de maths, de sciences, de... Bon, en réalité, je ne vénérais qu'un seul cours, celui d'arts. Ce fameux cours où les élèves se laissent aller à leur imagination, tout en se reposant les méninges. Je n'étais peut-être pas un étudiant modèle en matière de sérieux, mais en arts plastiques, je me donnais à fond, ça, je peux vous le dire. Je me souviens de mon prof, aussi farfelu que moi, il m'appréciait pas mal et c'était le seul qui comprenait mes travaux. Même quand moi-même, je ne me comprenais pas (rires). Tout au long du collège et du lycée, je n'ai cessé d'obtenir des bonnes notes alors j'ai décidé d'en faire un job, plus qu'une passion. J'aime beaucoup l'art, sous toutes ses formes. La musique, le dessin, le théâtre, la photographie... C'est mon domaine, je vous le certifie. Et les gosses, je saurai les attirer, qu'il me prenne pour un timbré ou non, peu importe, l'art n'est pas un domaine sérieux au sens propre du terme, après tout.
Bien. Et comment vos amis ou votre famille vous décriraient-ils ?Assez lunatique. Il m'arrive souvent de changer d'humeur sous l'influence d'une quelconque émotion, aussi minime soit-elle. Mais cela ne veut pas dire que je ne suis pas quelqu'un qui a du self-control, au contraire, je suis réfléchi et posé. On me dit souriant, blagueur. Il est vrai que j'ai le rire facile, qui ira s'en plaindre? J'suis pas vraiment compliqué, je m'adapte à toute situation nouvelle avec une grande facilité. Vaut mieux pour un prof, non?
Quand vous ne travaillez pas, comment vous occupez-vous ?En lisant, énormément. En faisant de la photographie, en sortant avec mes amis, en allant visiter les vieilles boutiques où l'on trouve toute sorte de babioles. J'ai un petit faible pour les disquaires aussi, le vieux rock, vous savez. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, je ne suis pas plongé dans des croquis, ni avec des morceaux de cartons assemblés lorsque je ne travaille pas. Le travail, c'est le travail. Si je ne me laisse pas aller à côté, je ne suis plus rien en cours. Il faut bien puiser ses inspirations quelque part...
Qu'aimez-vous et que ne supportez-vous pas?La liste devrait être longue, heureusement pour vous, je suis doté d'un esprit synthétique. Ce que j’aime, tout en restant dans des choses sobres puisque c’est vous (sourire)… Je commencerais par l’art, ah mais vous le savez déjà ça. Bon alors, je poursuivrais avec la musique. C’est une de mes plus grandes passions. Mon meilleur pote quand j’étais adolescent m’avait initié à ça, et je lui en serai reconnaissant à jamais. La magie de la musique : une émotion, une musique; une musique, une émotion, ouais, c’est grandiose. Sinon, j’aime… les gens capables d’être aussi sérieux que décontractés avec la vie. C’est important, il me semble. Puis j’aime les enfants, je les adore. Si je ne vous le dis pas, je crains que vous me recaliez (rires). Non, sérieusement, les jeunes peuvent être passionnants quand ils acceptent de s’ouvrir et de partager un peu. Ce que je n’aime pas, qu’on se foute de moi. J’ai peut-être un air je-m’en-foutiste parfois mais loin de là se situe ma personnalité, alors qu’on se trompe pas avec moi (c’est le futur professeur qui parle). Par ailleurs, je déteste les mensonges, la lâcheté, l’hypocrisie, la discrimination sous toutes ses formes et envers tout et rien. J’ai horreur de ça, faut dire j’suis peut-être trop pacifique, ma mère me disait souvent que ça me perdrait un jour, mais vous vous en fichez de ça, non?
Envisagez-vous l'emploi de Professeur d'Arts comme un job de passage ou une réelle carrière?Je prends ça totalement au sérieux et j’affectionne déjà ce job mais je n’éloigne pas de moi l’idée d’en changer un jour. Qui peut me dire ce qui se passera plus tard? Et entre le bien paraitre et l’honnêteté avec vous, je choisis ici l’honnêteté. Je ferai tout pour convenir parfaitement à mon rôle, croyez-moi.
Citez une expérience marquante qui vous influence encore aujourd'hui.Sans hésiter, je vous parlerais du jour où j'ai annoncé à mes parents que je voulais faire une carrière artistique. C'est surtout mon père qui l'a mal pris à vrai dire. J'ai eu l'impression de lui mettre une massue sur la tête. Malgré mes résultats scolaires médiocres dans les autres matières qui ne m'intéressaient pas plus que ça, il s'attendait à ce que je me lance dans quelque chose de plus... "sur", probablement. Il n'avait jamais envisagé que son fils soit un artiste, pas en tant qu'artiste professionnel si je puis dire. Du jour au lendemain, il est presque devenu indifférent envers moi, il devait me prendre pour un incapable qui ne sait que que faire des petits dessins sur les marges de mes feuilles. Il ne comprenait pas. Ma mère, au contraire, a été dans mon sens, après y avoir longuement réfléchi. Un jour, elle me sorti même une grande pochette de dessin d'un de ses vieux placards, dans laquelle se trouvaient des centaines d'oeuvres, toutes d'elle. Elle m'apprit alors que bien des gens ne comprenaient pas notre vision de l'art, dont mon père à qui elle avait caché toutes ces toiles, et qu'elle était fière que j'aie ça en moi.. Elle me fit confiance, et je lui serai toujours reconnaissant.
Avez-vous des tics, des manies, voire des phobies?Euh.. Je ne pense pas avoir de tics spéciaux. On me dit juste que je suis un as des grimaces. Il parait que mon visage est très expressif, involontairement. Tant mieux pour les gens je dirais. Quant aux phobies, j'ai peur du vide depuis que j'ai 17 ou 18 ans environ, allez comprendre d'où ça sort ce truc.. Enfin ce n'est pas bien gênant, j'suis juste incapable d'aller plus haut qu'au premier étage de la Tour Eiffel.
Que pourriez-vous améliorer dans votre personnalité?Je crois que je me laisse trop aller parfois. Je suis un peu rêveur, je m'égare facilement. On me reproche souvent de ne pas savoir trancher, de ne pas savoir être décisif. En même temps, je suis du genre à m'adapter à tout, pas compliqué pour deux sous. Cela peut être une qualité comme un énorme défaut, je peux vous le dire. Les femmes en particulier, elles adorent quand on prend les choses en main, quand vous savez prendre des décisions. Pour les élèves, c'est pareil (rires). Si vous ne les guidez pas un tout petit peu en art, ils sont perdus, ne savent pas par où commencer, faut dire en arts plastiques, le plus dur est souvent de comprendre ce que le professeur raconte. :)
Quelles pourraient-être vos relations avec le reste de l'équipe éducative de CK High?Comme je vous l'ai déjà dit plus haut, je suis d'une nature simple et je m'adapte facilement à toute situation, à toute personne. Je n'aurai à mon avis aucune difficulté à bien m'entendre avec l'équipe pédagogique de CK High.
Personnalité utilisée : Joseph Gordon Levitt
Code de validation : Education
Multi-compte? : Non
Hm, en quelque mots, je me ferai appelée Elea ici, j'ai 19 ans et je suis en 2ème année de fac (soyez donc indulgent avec la présence :) mais je fais la promesse d'être présente au moins deux fois par semaine ! sauf si je suis en période d'exam
). Pourquoi je suis ici ? Parce que j'adore votre contexte qui est à la fois simple et original, parce que j'adore l'Irlande, parce que j'ai craqué sur le scénario d'Andrea avec Joseph, qui m'a fait drôlement pensé au film 500 jours ensemble :D (bizarre bizarre) que j'avais littéralement adoré.. et puis surtout parce que j'adore écrire, je crois que c'est important de préciser ça.