mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go
+9
Yael A. Deluca
Lily G. Turner
Sloane Bleaze Wexter
Daphné N. Arnault
Giulianna Montoya
Hypatie R. Deluca
Léonie Caldwell
Andrea J. Auckland
Mewen L. Dunhard
13 participants
Auteur
Message
Mewen L. Dunhard
Messages : 11 Date d'inscription : 07/09/2010 Crédits : w.rabbit Pseudo/Prénom : C _ _ _ _
AU BOULOT! Emploi/Matière: Français Addiction: Compotes de pomme Pense-bête:
Sujet: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 19:36
MEWEN LIAM DUNHARD
❖ Déclinez votre identité.
Prénom, nom : Mewen Liam, Dunhard Âge, date et lieu de naissance : vingt-neuf ans – 2 janvier 1981 à Dundee État civil : Célibataire Emploi : Professeur Matière enseignée : Français Groupe : Excuse me Mr.
❖ I feel free.
À Paris, au cours de l'année 2006
«A ce qu'on m'a dit, tu viens d'Irlande? C'est vrai que t'as étudié à Londres avant de venir en faire d'autres sur Paris?» «Ouais…» «Et tu parles français?…» «Bah Ouais…» «Et à part ouais, tu sais pas dire autre chose?» «Bien sûr comme… Que tu devrais peut-être penser à te rhabiller, car ma copine est censée arriver dans une quinzaine de minutes et que j'ai aucune envie qu'elle te trouve dans mon lit.» «Quoi?» «Quoi, quoi? Je te demande de dégager, c'est pas ce que je suis censé dire pour te faire chialer et te voir partir ensuite en m'insultant de tous les noms?» «Espèce d'enfoiré!» «Ah bah voilà, tu comprends vite! Et n'oublie pas de refermer la porte en sortant, merci.»
Je me présente Mewen Dunhard, et pour celles et ceux que ça intéresseraient, Liam en guise de deuxième prénom. Je vis actuellement sur Paris, mais ne compte pas réellement y rester longtemps, enfin le temps de terminer mes études du moins. J'ai débarqué ici parce que mon choix était réduit, soit je poursuivais des études d'éducateur, soit je venais approfondir mon français que j'avais découvert lors de cours privés à Londres. Autant dire que j'ai fait le mauvais choix et que je suis venu étudier le français dans un pays à la con, un pays ou j'ai l'impression de mourir au fur et à mesure que les jours passent. J'ai même été forcé de tromper ma copine pour faire en sorte que mes journées soient riches en émotions et que j'aie de quoi culpabiliser l'espace de quelques jours. Bien sûr, j'ai essayé de me bourrer la gueule à plusieurs reprises, mais ne le supportant pas vraiment, j'en ai eu marre de devoir récurer le sol des toilettes parce je l'avais décoré la veille par un vert pâle dont l'odeur me réveillait aux aurores. Enfin malgré tout, n'allez pas croire que je suis le parfait imbécile qui ne sait pas quoi faire de sa vie, bien au contraire, j'ai mes projets et je compte bien les réaliser dans les années à venir… Après tout à vingt-six ans, il est venu l'heure de planifier un peu ma vie future sous plusieurs angles, dont le milieu professionnel. Avec mes papiers, j'ai envie de m'orienter vers quelque chose restant dans ce que j'ai toujours fait, les études. M'orienter vers un poste de professeur me botterait bien, seulement je ne veux pas faire professeur pour des gosses de dix ans qui bouffent encore de la colle… Non, je vois un truc plus sérieux, un truc où je m'applique sur un point important et sur lequel je dirige une classe, dissipée ou non, je m'en fou, je suis patient, j'ai la psychologie qu'il faut et… les punes, j'ai les idées qu'il faut pour les calmer. Enfin ce que je voulais dire c'est que le fait de pouvoir diriger un ensemble de personne me plairait, réussir à attirer l'attention d'un groupe m'intéresse et surtout si c'est pour leur apprendre quelque chose. Vu mes études, je pourrais partir dans quelque chose de social ou pourquoi pas linguistique. En effet, j'ai suivi des cours intenses de français durant plus de deux ans en parallèle de mes études d'éducateur avant de m'envoler ici, à Paris, et suivre quatre années d'université en littérature, mixée à deux années de préparation en français, en gros pour vous faire un dessin, à vingt-huit ans je serai sorti de mon cycle universitaire. En parlant d'Université, je me verrais bien y faire quelque chose dans l'une d'elles, et en Irlande, histoire de revenir à mes sources après dix ans d'infidélité.
À Galway, en début d'année 2010
Bonjour! J'aimerais d'abord que vous m'expliquiez quelles sont vos motivations pour cet emploi. «Bonjour Mr O'Cahan.» répondit-il avant de se recaler correctement dans le fauteuil, son regard cherchant à explorer les quelques photos ou portraits que possédaient le directeur. C'était simplement pour avoir une idée du personnage que c'était, après Mewen en faisait ce qu'il voulait. «Mes motivations?… J'en ai plusieurs, mais si je devais vous en dire trois, je vous dirais sans grande hésitation que j'ai toujours aimé les défis. Pour moi, cet empli est un défi, c'est quelque chose d'assez nouveau, j'ai pratiqué quelques stages ces derniers mois mais rien de réellement sérieux contrairement à ce poste que j'espère avoir. Le fait d'avoir des responsabilités, des buts à atteindre avec une classe et gérer un groupe d'étudiants, ça m'intéresse vraiment, autant par sa difficulté que pour sa diversité. Comme beaucoup me l'ont dit, être professeur demande beaucoup d'implication dans ce que l'on fait et encore une fois, c'est un défi. Enfin, ne vous dites pas que je cherche simplement à trouver des difficultés, mais comme dans beaucoup de boulots, on fait face de nouvelles choses et ces nouvelles choses, moi elles m'attirent. Après avoir passé autant de temps à étudier, j'ai envie de faire le contraire et enseigner, enrichir les compétences d'un groupe d'étudiants et pourquoi pas, élargir les miennes en corrigeant leurs cours.»
Bien. Et comment vos amis ou votre famille vous décriraient-ils ? «Oh…» Autant dire que la question le surprenait, à quoi bon l'interroger sur ce que pensaient les autres? Mewen pouvait très bien déformer la chose et… Et en fait il ne comprenait pas le but de la question, mais malgré tout il essaya d'en sourire et de poursuivre sans la moindre hésitation. «Pour être franc, je pense que si un jour vous devez faire la rencontre de mon entourage, votre point de vue sera totalement différent du leur, je m'explique. Ils savent que ma vie professionnelle est différente de ma vie privée, j'ai souvent insisté sur ce point car je n'aime pas mélanger les deux sur certains points. Il y a une façon d'être en dehors des cours que l'on ne peut pas avoir dans un cadre professionnel ou même universitaire. Peut-être que d'ici deux ans, du moins si vous m'engagez, vous me décrirez comme une personne très fixée sur son travail, assez sérieuse et qui se permet de temps à autres une réflexion déplacée afin d'animer les discussions entre collègues autour du café de dix heures. Cependant si vous dites ça à mon entourage, ils vous riront au nez car c'est vrai qu'en dehors, j'ai une certaine liberté et j'en profite, sans pour autant aller dans les extrêmes, j'ai quand même passé ma crise de la vingtaine il y presque dix ans… *Une crise qui s'est terminé à vingt-sept ans, mais je pense pas qu'il soit utile de le préciser*. …donc n'allez pas vous imaginez des choses. Enfin bref pour répondre réellement à votre question, car je dois bien avouer que j'ai de la peine à vous donner une réponse claire, mes amis me définiraient comme une personne presqu'hyperactive, décontractée, franche et dont l'écoute est l'une de ses meilleures qualités. Ah et évidemment je ne vous cacherai pas qu'ils m'aiment beaucoup, sinon ça ne serait pas mes amis». termina-t-il en rigolant, histoire de se remettre d'un monologue dont il n'était pas vraiment fier et pourtant, lui qui était si tranquille d'habitude, voilà qu'une question avait réussi à le faire dévier de son petit chemin. Autant dire qu'il va falloir éviter de trop creuser son trou s'il ne veut pas finir enterrer.
Quand vous ne travaillez pas, comment vous occupez-vous ? Enormément, mais sans faire grand chose par moment. je suis une personne vraiment active mais je peux très bien me laissez guider sur un banc de Galway, m'y asseoir et écouter de la musique tout en lisant les pages d'un bouquin. Je pourrais aussi pratiquer un footing pour m'épuiser et penser à autre chose que la mauvaise journée que j'avais passée. Sincèrement je ne peux vous dire quoi, car il est rare que je fasse chaque fois la même chose, tout dépend de mon humeur en fait. Lorsque j'en ai le temps, je vais boire un verre avec d'anciens amis, je me fais une sortie au cinéma ou je les invite l'espace d'une soirée ou mieux, ils m'invitent au restaurant.
Qu'aimez-vous et que ne supportez-vous pas? «Je pense que que si vous intéresse le plus au fond, c'est de savoir ce qui m'insupporte. Après tout, ce que j'aime est un peu basique, du moins je ne pense pas que les gens aiment l'hypocrisie, la sournoiserie et autres mots similaires pour décrire ces personnes qui se cachent sous de faux-sourires afin de vous faire bonne impression. Je n'ai jamais aimé que l'on me cache un problème, quelque chose qui dérange venant de ma part, j'aime les critiques car elles sont toujours bonnes à prendre et si je ne les comprends pas, je cherche à les comprendre. Aujourd'hui, tout le monde cherche à se faire passer pour quelqu'un d'exemplaire alors qu'au fond personne ne l'est. Je suis de nature franche et même si ça pose problèmes, je pense que je m'attire moins d'ennuis que les personnes qui font semblant de vous aimer et qui parlent dans votre dos dans l'unique but de s'attirer les honneurs. Malheureusement pour moi, je sais que dans le milieu de l'éducation je suis mal tombé, mais ce n'est pas innocent de ma part. J'ai fait quatre années d'éducation et sans vouloir me vanter, je connais plusieurs stéréotypes de personnes et pour certains, je n'hésite pas à utiliser les moyens qui font que dans leur tête ou leurs agissements, ils grandiront.»
Envisagez-vous l'emploi de Professeur de Français comme un job de passage ou une réelle carrière? «Pour être tout à fait franc, je n'en ai aucune idée. Ce qui est sûr en tout cas, c'est que je compte pratiquer ce travail sur plusieurs années, assez pour m'instruire de cet emploi mais aussi pour prendre connaissance de ce qu'est réellement la responsabilité, les objectifs que l'on me demande d'atteindre et la communication entre un professeur et ses élèves. Après je ne vais pas vous dire que je compte devenir un professeur de français jusqu'à mes soixante-cinq ans, il est possible que des événements ou des envies me poussent à faire autre chose, mais aujourd'hui, ce n'est pas d'actualités, j'ai des objectifs et je compte les accomplir ici, dans votre établissement M. O'Cahan.»
Citez une expérience marquante qui vous influence encore aujourd'hui. «L'expérience marquante de ma vie, au final, c'est ce parcours universitaire que j'ai commencé dès l'âge de mes dix-huit ans. Vous savez, quand vous faites quatre années d'université à Londres, puis six autres à Paris, vous restez dans un milieu où vous ne cessez de découvrir de nouvelles choses. Cette expérience elle m'a marqué car dans un certain sens, j'ai toujours aimé cet environnement, les relations entre un professeur et un élève sont tellement différentes d'une personne à l'autres que ça donne beaucoup d'intérêt à un travail comme celui que je désire faire aujourd'hui. Le fait de pouvoir être dans une salle de classe ou dans un auditorium et me déplacer devant une classe en leur adressant des gestes ou en leur expliquant des choses essentielles de base, ça me botte bien. Pour moi, c'est une manière de rester dans ma vie d'universitaire mais en prenant de la maturité et en devant cette fois-ci celui qui apprend et qui dirige ses élèves.»
Avez-vous des tics, des manies, voire des phobies? «En effet, j'ai quelques manies, heureusement pas flagrantes. Lorsque je me mets à parler de quelque chose d'assez compliqué et donc, difficile à expliquer, j'ai tendance à utiliser mes mains pour parler, c'est une manière de faire venir les idées et de les développer, je sais pas, c'est comme ça. J'ai toujours eu cet automatisme là, c'est un peu comme le fameux coup de main dans la nuque, qui ne le fait pas? Il y a des gestes comme ça qui sont ancrés dans mon quotidien et heureusement, ce ne sont pas les plus gênants. Par contre, ce qui est gênant, c'est cette phobie de l'altitude. Pas le vide, mais l'altitude. Vous pouvez me mettre en haut d'un immeuble et me mettre la tête dans le vide, ça ne me fait rien. Mais il s'agit juste du fait d'être à un deux mille mètres d'altitude et j'ai l'impression de ne plus pouvoir respiré, je ne sais pas réellement d'où ça vient mais… c'est quelque chose de particulièrement dérangeant, surtout lorsqu'il s'agit de faire du ski dans les Alpes suisses. D'ailleurs, vous y êtes déjà allé? Non? Et bien vous devriez y penser.»
Que pourriez-vous améliorer dans votre personnalité? «Ma maturité…» lâcha-t-il à peine la question fut posée. Le fait d'avoir été aussi clair et rapide avait eu l'air d'interroger le directeur, ce dernier fronçant ses sourcils tout en attendant plus d'explications sur la chose. Mewen secoua brièvement la tête, se mettant même à en rire un bref instant, avant de s'expliquer plus en détails. «En fait, c'est assez simple. Comme je vous l'ai dit, je n'ai pas arrêté d'étudié durant presque dix ans, j'ai toujours été dans un milieu universitaire et je n'ai jamais réellement pu être confronté à certaines difficultés que l'on peut avoir dans un travail, face à un loyer, des factures, etc… Je suis indépendant, je sais me prendre en charge, mais je sais que je n'ai pas la maturité que l'on est censé avoir à bientôt trente ans. Il ne faut pas croire que je sois dépourvu de qualités et que j'ai tendance à m'embarquer des trucs invraisemblables, c'est loin d'être le cas. Au fond, c'est juste que j'ai beaucoup de choses à découvrir, et ça je compte bien le faire en trouvant un emploi fixe.»
Quelles pourraient-être vos relations avec le reste de l'équipe éducative de CK High? Strictement professionnelle! Non, je plaisante, mais j pense qu'on a du vous le répéter à de nombreuses reprises, du moins j'en ai l'impression. Je vous répondrai franchement, il est clair qu'en premier lieu, je ne suis pas ici pour me faire des amis, mais de fil en aiguille on ne peut pas faire autrement que tisser des liens, bons ou mauvais. Je pense quand même qu'il est important d'avoir un contact avec les professeurs et si je me décide de me limiter à être que professionnel avec eux, des barrières seront installés et je pense pas que pour la communication ce soit une bonne chose. Pour moi, les relations simplement professionnelles font partie de l'ancienne école. Être figé que sur le boulot pousse à créer des tensions et si l'on ne peut même pas rigoler comme de bonnes connaissances, je pense que c'est assez triste, malgré tout j'accepte le choix de certains, nous n'avons pas tous le même point de vue et être humain, c'est ça. On est 50% bon, 50% con, mais 100% humain.
Bon, bon, bon que dire si ce n'est que j'ai découvert le forum par Mariko. A la base, je voulais pas m'inscrire car j'arrive plus à me motiver pour les RP mais étant donné que j'ai suivi Mariko & Cie, j'ai décidé de continuer encore une fois et me voilà. Comme on peut le voir, mes présentations, je les écris en moins de vingt-quatre heures , je suis un gros rapide et un gros boulet, ça, ça m'arrive aussi même souvent. J'ai la vingtaine, je travaille dans le milieu de l'industrie graphique et… j'aime Londres, Keira K. et le bon chocolat que l'on trouve que chez moi.
Dernière édition par Mewen L. Dunhard le Dim 19 Sep - 17:20, édité 12 fois
Invité Invité
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 19:39
Bienvenue ! J'ai l'impression de lire mon prénom, pourtant il n'y a que le "wen(n)" de commun *out*
AU BOULOT! Emploi/Matière: Prof de Russe. Addiction: Vodka, matriochkas, Tolstoï et Tchekhov. Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 19:40
Que de testostérone ce soir.
Bienvenue
Léonie Caldwell
Messages : 84 Date de naissance : 17/01/1993 Date d'inscription : 02/09/2010 Âge : 31 Crédits : MARIKODEAR. Pseudo/Prénom : LAFEMMEMYSTERE. (-mais lou, ça ira.-)
AU BOULOT! Emploi/Matière: Culture Française. Addiction: Les hommes, le champagne, les framboises et bien entendu, la littérature française. Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 19:41
ARG. Jamie. Je sens la folie féminine arriver à grands pas !
Mais Bienvenue, toutefois. ET BONNE CHANCE !
Hypatie R. Deluca
Messages : 122 Date d'inscription : 05/09/2010 Crédits : ESPÉRANCE™
AU BOULOT! Emploi/Matière: Surveillante Addiction: Le chocolat et les pots d'Häagen-Dazs Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 19:52
AU BOULOT! Emploi/Matière: Philosophie Addiction: Les cheese-cake de mon patissier. Une tuerie! Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 21:26
J'approuve la musique aussi :) Bienvenue
Mewen L. Dunhard
Messages : 11 Date d'inscription : 07/09/2010 Crédits : w.rabbit Pseudo/Prénom : C _ _ _ _
AU BOULOT! Emploi/Matière: Français Addiction: Compotes de pomme Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mar 7 Sep - 23:13
Merci à vous tous! Et pour la musique, j'vois qu'il y a des gens qu'avec de bons goûts ici!
Verena, je te retourne le compliment de l'avatar, Amber
P. Wendy Carshaw
Messages : 79 Date de naissance : 14/03/1991 Date d'inscription : 05/09/2010 Âge : 33 Crédits : cristalline Pseudo/Prénom : microwave
AU BOULOT! Emploi/Matière: mathématiques Addiction: Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mer 8 Sep - 18:24
DORNAN FUCKING
Bienvenuuuuuuue
Marianne Caldwell Admin
Messages : 269 Date d'inscription : 22/06/2009 Pseudo/Prénom : Mariko
AU BOULOT! Emploi/Matière: littérature anglaise classique Addiction: les petits pots goût épinard Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Mer 8 Sep - 18:30
Bienvenue bienvenue bienvenue! (Je m'excuse, ceci est un message copié-collé, je suis une admin indigne ayant du retard à rattraper. Mais je t'offre un coeur en échange! )
Mewen L. Dunhard
Messages : 11 Date d'inscription : 07/09/2010 Crédits : w.rabbit Pseudo/Prénom : C _ _ _ _
AU BOULOT! Emploi/Matière: Français Addiction: Compotes de pomme Pense-bête:
Sujet: Re: mewen l. dunhard – It's no one's fault but my own, it's the path I've chosen to go Dim 19 Sep - 17:23
Merci à tout ceux à qui je n'avais pas dit merci, et pardon pour le retard de ma présentation mais… Mais c'est tout moi.
J'ai l'immense joie de vous avertir que j'ai terminé ma présentation tant bien que mal! S'il y a des soucis, des incompréhensions ou des punitions à me donner, je suis là. ->